vendredi 23 février 2024

Femmes Vicieuses (1974)


Un journaliste playboy fait le barbeau auprès de ses potes et de ses collègues :

Au point de faire expatrier à Pointe-à-Pitre un de ses collègues qu'il a rendu cocu.
Bref la vie s'écoule dans la beaufitude la plus totale, bagnole de sport et coups d'un soir entre couilles : 


Mais voilà qu'un jour notre gars tombe sur un os en la personne d'une belle bourgeoise blonde mariée et fidèle. Il a beau se mentir, n'ayant pas ce qu'il veut, Lantier broie du noir:


Il va donc monter un stratagème visant à pervertir le mari de la dame, à un point où ils s'accorderont pour échanger leurs femmes le temps d'une soirée, le journaliste ayant toujours une donzelle à prêter sous la main, en l’occurrence, l'apprentie actrice pas bêcheuse. Mais si la femme convoitée accepte difficilement le deal à la seconde tentative, elle n'en retourne pas moins au bercail.

Film érotique bien misogyne à l'origine, Femmes Vicieuses a plus tard été exploité caviardé de scènes pornographiques intégrées n'importe comment, même pas au même ratio avec un doublage sans rapport à l'image non plus.

Combiné à un niveau de phallocratie hors du commun dans les dialogues et la morale, je me demande si on ne tiendrait pas là un authentique nanar.

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