vendredi 14 octobre 2016

Déjà mort (1997)

Ces petits monologues bien plats, il va falloir s'y faire en abordant Déjà mort :

Ce premier ouvre le film s'ensuit un plan sur la promenade de Nice, une nuit de 14 juillet...oui, çà fait bizarre.
Bref, Laure a une vie de merde et cherche à s'émanciper en fréquentant une bande de petits bourgeois de la côte d'azur.
Plus qu'un film autour du monde du porno et des modèles de charme, il s'agit surtout d'une film montrant des jeune pétés de thunes complètement perdus et entièrement voués à la défonce, la came (ecsta, coke, Keta, ...) prenant une place prépondérante dans leur fuite en avant.
Ça commence gentiment lors des belles soirées :

Mais çà dérape quand les armes s'en mêlent. Entre temps, nos pieds nickelés essaient de doubler le baron local du business porno en essayant de faire tourner Laure dans leur propre film :

Romain Duris qui joue un peu trop souvent ...Romain Duris est ici très bon.
Et puis on note un plan amusant sur une table de cuisine avec, au milieu des cachetons, de la poudre et des flingues un Mad Movies et un Écran Fantastique. Comme çà, pas de jaloux !

samedi 1 octobre 2016

Les défonceuses (1978)

Un petit film à sketches bien sympathique de Pierre Unia où il est question de 4 pétanqueurs en panne de voiture secourus par une accorte judoka qui leur propose de céder ses charmes à celui dont l'histoire érotique l'émoustillera le plus :

Même si d'une scène à l'autre le recadrage de l'image et l’étalonnage n'a rien d'uniforme, la diversité des scènes est louable, compilation oblige, avec différents lieux, acteur est situations. Les Défonceuses ne se limite donc pas à la dernière scène pour proposer une partouze :

Arrive enfin la garagiste et la voiture réparée. Et pour ces messieurs, comme à l'école des fans, ils ont tous gagnés !