lundi 30 avril 2018

Les Deux Gouines (1975)


Le premier porno de Bénazéraf, enfin pas complètement déluré graphiquement encore mais il attaque avec une charge en règle contre l'hypocrisie des bourgeois bien-pensants lors de la première scène de dîner de notables, on y cite même Zitrone ! :

Puis nous aurons la loi X pour les rassurer...
Un Avocat  amant de la femme d'un de ses amis va se retrouver piégé par la fille du couple en l'amenant à la dépuceler et le menacer de poursuite.
Pour sauver la face, il lui sera proposé de se marier avec la jeune fille fraîchement déflorée.
Le film est assez politique mais surtout trop freudien pour son bien, comme souvent avec José, on est pas là pour rigoler au risque de s'emmerder un peu. Le porno est lent et progressif, mais il a énormément de jeu sur les points de montage qui rend Les Deux Gouine toujours intéressant à regarder.
Et puis il y a des chansons :


et une musique ajoutée à la truelle qui a son charme, sorte de mélange free jazz/ Krautrock synthétique.

lundi 9 avril 2018

Les Deux Gamines (1980)

La découverte du corps de 2 pensionnaires incarnées par Cathy Stewart et Barbara Moose servent de fil rouge à ce film qui compile de nombreuses scène d'autres films de Claude Pierson :

Après quelques aventures sexuelles, souvenirs d'amour de vacances, les 2 jouvencelles sont prises sous l'aile de l'oncle de Sophie, oncle d'Amérique et donc, s'exprimant avec un bel accent de merde :

Les Deux Gamines est un film assez pénible à suivre car le montage fait comme il peut pour raccrocher les morceaux et la tentative débouche souvent sur de sérieux accidents de rupture, mais c'est tout de même l'occasion de revoir Cathy Stewart toujours aussi à l'aise, de passer un peu de temps en sa compagnie sur l'île Sainte Marguerite et d'entendre quelques chansons, dès l'ouverture, particulièrement niaises :

samedi 7 avril 2018

Deux enfoirés à Saint-Tropez (1985)


Comédie sexy mineure de Max Pécas. On sent la fatigue et ce deux Enfoirés à Saint-Tropez n'a que peu d’intérêt si ce n'est pour la présence, à titre documentaire de Caroline Tresca, dans un rôle assez petite bourgeoise qui cherche à se libérer mais qui a des principes :

C'est peu, c'est lourd. A noter également un échantillon d'accent de merde histoire d'alimenter ce blog :

Pour le reste, c'est mou et frileux. Très dispensable.