Un journaliste américain débarque en France pour couvrir un forum, et se retrouve aux mains de deux hôtesses de l'air frivoles. Il cède avec plaisir mais le mode de pensée et les pratiques libertaire des donzelles (on parle du libertarisme de 1972) le perturbent, le rendre aigri, le perdent. La dépression guette d'ailleurs.
Bénazéraf a encore la main lourde sur la parabole et balance rapidement, maladroitement le gros de ses obsessions politiques :
La dénonciations des valeurs bourgeoises, des principes :
Rien de bien nouveau de sa part. Alors il y a quelques scènes érotiques assez belles, gâchées par le jeu poussif des acteurs et un mélange Français/Anglais n'ayant aucun sens et bien crispant, façon Nouvelle Vague mal digérée :