En fait de plan diabolique, il s'agit de faire circuler un train de luxe transformé en bordel itinérant pour les troufions mais dont les compartiments sont bardés de micros permettant de détecter les potentiels déserteurs ou ramollis du fusil au détour de confession sur l'oreiller.
Le train est géré de main de maîtresse par Elsa, ancienne prostituée nouvellement dévouée au IIIème Reich alors que son ancien amant, un major SS commence à l'avoir de travers :
Elsa Fraülein SS, comme tous les film Eurociné manque de moyens, mais il manque surtout de patate, de dynamisme, tant dans les scènes érotiques que dans les tentatives de scènes d'action.
La partie espionnage se déroule en pilote automatique, l'intrigue sentimentale à l'eau de rose entre le major et une jeune prostituée rallonge artificiellement la sauce et même Claudine Beccarie, qui vient cachetonner, peine à y mettre du sien.
Il reste Olivier Mathot, qui arrive encore à jouer correctement son rôle d'officier masochiste s'éprennant d'une jeune résistante. Une scène de flashback du front de l'Est improbable, mélange de stock shots et de plans sur le sus-cité Mathot caché derrière une arbre et une chanson parce qu'il faut bien se distraire un peu dans ce train :
Ad Lib
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