Au fil des visionnements guidés par le Dictionnaire des films français érotiques et pornographiques en 16 et 35 mm, nous allons fermer un peu les yeux et nous délecter de quelques extraits sonores, parfois franchement explicites, revendicatifs, amusant, ridicules mais bien souvent étonnants. Bonne écoute !
jeudi 30 juin 2011
mercredi 29 juin 2011
Les Amours de Julie (3 Zobs et un cul fin)
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mardi 28 juin 2011
L'amour au pensionnat des petites vicieuses
Bienvenue dans ce pensionnat particulier, étudié par la caméra de John Oven aka Alain Payet (nous ne sommes donc pas dans du Hard Crad car ce n'est pas signé John Love...il y aura peut-être un scénario alors ?).
Cathy nous présente la professeur d'anglais.
Il n'empêche que cette prof en remontre à 3 collègues après en avoir accueillis 2 puis s'être fait pisser dessus par le troisième, c'est l'heure des comptes.
Le film est, comme souvent post-synchronisé, mais ce passage semble être d'une telle spontanéité que je donnerai cher pour avoir une version blue-ray du film avec la fonction Picture in Picture montrant les doubleurs en studio faisant leur travail à ce moment là.
vendredi 24 juin 2011
L'amour chez les poids-lourds
Intégrer le récit mythologique de d'Ulysse dans l'univers beauf des routiers, c'est quand même incroyable.
Et pour peu que l'on soit indulgent, çà prend !
Prochaine étape, transposer le Seigneur des Anneaux dans les vestiaires d'une équipe de Rugby.
En attendant, notre cher Pallardy d'Ulysse est à 3000 bornes de sa Pénélope et de ses potes qui espèrent son retour.
Mais il n'en peut plus, il doit s'échapper des griffes de Calypso !
On notera d'ailleurs qu'il y a au moins 2 travestis dans ce film érotique, à l'époque c'était un important sujet de curiosité dans les salles de projection pour adultes. Aujourd'hui c'est juste devenu une niche, on ne mélange plus.
Et pour peu que l'on soit indulgent, çà prend !
Prochaine étape, transposer le Seigneur des Anneaux dans les vestiaires d'une équipe de Rugby.
En attendant, notre cher Pallardy d'Ulysse est à 3000 bornes de sa Pénélope et de ses potes qui espèrent son retour.
Mais il n'en peut plus, il doit s'échapper des griffes de Calypso !
On notera d'ailleurs qu'il y a au moins 2 travestis dans ce film érotique, à l'époque c'était un important sujet de curiosité dans les salles de projection pour adultes. Aujourd'hui c'est juste devenu une niche, on ne mélange plus.
jeudi 23 juin 2011
L'amour à la bouche
Voici un très bon film érotique, au fond assez intéressant qui renvoie dos à dos les bobos des années 70, la haute bourgeoisie et les baba-cools lymphatiques dans leur égocentrisme chronique.
Mais c'est surtout sur sa forme que le film est exceptionnel, la mise en scène est vive et inventive les choix d'axes sont toujours étonnants, la photo n'est vraiment pas mauvaise. Il passe parfois sur les chaînes du satellite, ne le ratez pas !
d'ailleurs, on y trouve des conseils santé.
Un playboy à l'élocution ravageuse
Un peu de philosophie de salon...
Ha, le petit rigolo de service apporte le champagne.
...et on trouve même une Lady Chatouille-les.
lundi 20 juin 2011
A trois sur Caroline
Allez, autant y aller franchement pour donner le ton. J'espère d'ailleurs que le blog réservera bien d'autres surprises de ce genre.
Là, c'est Jean Paul Bride qui intervient, sous la direction d'Alain Payet. Attention, c'est proprement (en fait assez salement) surprenant.
Ce Jean Paul fera d'ailleurs l'objet d'un tag à lui tout seul tant sa verve est exceptionnelle. Comme il le dit lui-même, c'est un "cérébral".
Dans ce film on retrouve la volcanique Christine de B. mais ce n'est pas d'elle dont il s'agit ici.
Vous remarquerez que, contrairement à Pierre Woodman qui aime "défoncer le cul de ces salopes de chiennes", Bride demande à ce que sa camarade prévienne s'il lui fait mal. Çà peut paraitre anodin mais il semble le faire systématiquement d'après les quelques scènes où il m'est apparu.
C'est la différence entre celui qui aime le business et celui qui aime jouer avec ses partenaires.
Bonne écoute.
Là, c'est Jean Paul Bride qui intervient, sous la direction d'Alain Payet. Attention, c'est proprement (en fait assez salement) surprenant.
Ce Jean Paul fera d'ailleurs l'objet d'un tag à lui tout seul tant sa verve est exceptionnelle. Comme il le dit lui-même, c'est un "cérébral".
Dans ce film on retrouve la volcanique Christine de B. mais ce n'est pas d'elle dont il s'agit ici.
Vous remarquerez que, contrairement à Pierre Woodman qui aime "défoncer le cul de ces salopes de chiennes", Bride demande à ce que sa camarade prévienne s'il lui fait mal. Çà peut paraitre anodin mais il semble le faire systématiquement d'après les quelques scènes où il m'est apparu.
C'est la différence entre celui qui aime le business et celui qui aime jouer avec ses partenaires.
Bonne écoute.
mercredi 15 juin 2011
Entrez vite...vite, je mouille
Par contre je ne sais pas si la voix utilisée pour la post-synchro de cette séquence est bien celle de Jean Rollin.
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