Même si nous aurions pu nous attacher à une gallerie de personnages assez loufoques (le prêtre magicien, la danseuse névrotique...) l'ensemble est long et même la séquence de fête légère sur l'île vers la fin du métrage éveille assez peu l'intérêt la faute à une photographie bien sombre.
Reste la musique classico-synthétique composée par Bruno Gillet Gérard Bourdieu à laquelle il est encore possible de se rattraper :