Extrême Sévice, c'est du porno qui débite. Sur fond de souvenirs évoqués par une princesse qui se livre à la prostitution depuis chez elle :
Les scènes s'enchainent entrecoupées de passages au théâtre érotique où se joue une chanson digne d'un dessin animé des années 80 :
Les acteurs ne font preuve d'aucune sobriété dans le jeu, notamment celui de cette femme de général insatiable :
Les jeux de rôle ont la part belle :
Pas instant de répit pour le pornophile. Le montage est fait au couperet mais le jeu sur l'échelle de plan des scènes hard est efficace. Les acteurs ne sont pas les premiers couteaux du genre pour l'époque mais cette production de consommation courante remplit parfaitement son objectif. D'autant qu'au détour d'une mission de dépucelage d'une des travailleuse, on y fait quelques révisions de philosophie :
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