Il lui faut aussi découvrir la flore très particulière de l'île :
Au cours d'une sauterie organisée dans la villa qu'il habite, Clark, un riche propriétaire et joueur de poker invétéré anglophone vient provoquer Phil. Le défi prend place le lendemain à bord du voilier de l'anglais qui a déjà de toute façon gagné le concours de l'accent de merde :
...et je vous épargne celui des autochtones. Alors que Phil se fait plumer sur un coup de tapis, un deal est conclu avec Axelle (vous vous doutez bien duquel) :
L'affaire est faite, le lendemain, Clark s'étant bien vidé les couilles, les 2 mâles font la paix, Axelle pardonne tout à Phil et ...le jour de son départ fait demi-tour pour regagner la villa de son barbu d'amant.
Dans Désirs sous les Tropiques, on a l'impression d'assister aux Bronzés tirent leur crampe en Martinique, le côté documentaire "découverte du monde" en plus, l'humour en moins.
Le film ayant été tourné pour une diffusion à 2 montages : en soft et en hard, les plans explicites sont mous et parfois montés n'importe comment, désamorçant le potentiel émoustillant de l'entreprise.
On retiendra juste un très belle scène de danse et de copulation sur fond de rituel vaudou de pacotille sur la fin impliquant Jack Gatteau bien trop discret.
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