Là, on peut parler de vrai classique du porno des années 70. on y voit Brigitte Lahaie encore brune et 2 de ses copines décider de s'émanciper de leurs mecs qui sont de bons gros connards :
D'autant qu'une fois entre elles, au boulot c'est pas la joie non plus et elles se font proprement exploiter jusqu'au pétage de plomb :
Et forcément, au bout d'un certain temps, l'argent vient à manquer et il faut bien trouver une solution :
Alors Belles d'un Soir (le nom de la version soft de Suprêmes Jouissances) totalement phallocrate ?
La question reste posée, et peut aussi se demander dans quelle mesure l'équipe au commande (la grande artillerie du porno français des 70's : Claude Mulot, Kikoïne au montage, Francis Leroy à la production) joue à fond la carte bête et méchante d'Hara-Kiri qui innervait complètement la création populaire de l'époque, accent à la con inclus :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire