Ou carrément au bureau :
où ses délires fantasmatiques finiront par prendre le pas sur sa perception de la réalité jusqu'à la faire sombrer dans la folie.
Encore un très bon film de Michel Barny qui montre une fois de plus le désenchantement qu'impose le quotidien face à l'espoir de libération et d'éveil des corps que promettait la décennie précédente.
On note la patte du réalisateur notamment lors de la scène du taxi :
qui s'achèvera dans une casse au milieu d'une poignée de gaillard se branlant sur l'héroïne, procédé très semblable à la fameuse scène des poubelles dans l'extraordinaire Mes nuits avec... Alice, Pénélope, Arnold et Richard, du même Barny.
A ceci près que ci son premier film parodiait le Grande Bouffe avec la même noirceur, je suis convaincu que Délires Porno a pour principale source d'influence le Locataire de Roman Polansky, sorti la même année. Pour preuve, la scène finale lors de la fuite dans l'appartement, les plans débullés utilisant des optiques déformants alors que tous les personnages hantant l'imaginaire de Catherine sont réunis chez elle pour une ultime orgie.
Bonjour je voudrai avoir le lien de ce film merci
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerle film est toujours à la vente en DVD donc pas de lien ici.
Une simple recherche sur n'importe quel moteur de recherche avec le titre du film et de son année permet de le retrouver facilement.
Cordialement.