Baudricourt toujours. Ses compilations de scènes entrecoupées d'un fil rouge où, cette fois-ci on retrouve Richard Allan qui se lâche comme on l'aime :
Et les longs monologues de lectures érotiques énoncées tant bien que mal par les actrices avant de prendre des bites en bouche dans un déluge de faux-raccords.
Curieusement, dans Infirmières jouisseuses, la bande son des scène hard est très travaillée, on part d'un morceau musical de base auquel le monteur ajoute des couches, notamment d'étranges rires féminin lors, par exemple d'une éjaculation (la synchronisation est-elle volontaire ?) :
Et çà se sophistique encore lorsque les acteurs en voix-off ajoutent des compléments de description répétées comme des mantras sexuels :
Parfaitement, madamme : dans l'assiette de lait !
Cela donne au final un film assez perché dans le discours mais toujours très standard à l'image.
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