samedi 28 décembre 2024

La Fille de Dracula (1972)



Un érotico-fantastique de Jesus Franco dont la voix off annonce la couleur dès la première minute :

Et le cependant tient dans le fait que la fille du comte de Karlstein est l'héritière de la malédiction des buveurs de sang.

Des filles dans le village sont retrouvées mortes avec les marque dans le cou. Un inspecteur débonnaire à deux doigts de se faire doubler par un journaliste très curieux mène mollement l'enquête pendant que Jefferson (Jesus Franco), ésotériste chevronné, parle : 



Les zooms intempestifs sur des pubis fournis, un Howard Vernon qui fait des abdo dans son cercueil et n'ayant aucune réplique à part un ou deux râle, Jesus Franco dans un double rôle où il semble pour une fois plus impliqué que de coutume, rien n'y fait. Le rythme est bien trop lent, donnant l'impression de se taper un épisode de Derrick en Bretagne bénéficiant d'une mise en image un peu plus stylisée.

vendredi 20 décembre 2024

La Fille à tout faire (1980)



Deux jeunes gars ont monté leur studio photo mais ils peinent à joindre les deux bouts, alors ils font de l'alimentaire. Par chance, ils réussissent à négocier un gros contrat avec Monsieur Paul, fabricant de maillots de bain. C'est l'heure du casting, en vue d'un shooting qu'ils espèrent pouvoir réaliser en extérieur, dans le sud.
Mais le patron est pingre, tout comme le producteur de La Fille à tout faire, donc nous ne verrons jamais la couleur du sable ni les rayons du soleil.
Moyens réduits obligent, Gerard Kikoïne fait ce qu'il peut. Le scénario est réduit au minimum, et le passage à l'action arrive vite, très vite, les personnages mettent rapidement les points sur les i:



D'une certaine manière,nous ne sommes pas loin des structures et dispositifs qui déferleront sur cassettes vidéo un ou deux ans plus tard, et l'esthétique du film est à cheval entre l'âge d'or du porno français et ce qui se fera sur bande magnétique, les mouvements et cadrages recherchés de Kikoïne en plus, venant tout de même rehausser la qualité de l'entreprise.

Sans compter ses doublages paillards et bien déconnants de misogynie qui faisaient le charme de ses dernières réalisations pour le porno aux capitaux allemands : 




Malédiction des éditions DVD Blue One pour faire tenir sur trois films sur un disque, la version vue de 60 minutes au lieu de 81 a dégagé Jack Gatteau de sa participation à la partouze finale. Vu sur la version Allemande, c'est un scandale d'avoir sucré son irruption.

vendredi 13 décembre 2024

La Fille à la Sucette (1974)


Double charcutage pour cette Fille à la Sucette. Tout d'abord dans sa nature intrinsèque, puisqu'à la base il s'agit d'un film vaguement érotique caviardé d'insert hard sans aucune cohérence, montés à la va comme je te pousse, et à ce sujet un carton avertis dès le début le spectateur de la nature des doublages. Ensuite, visionné dans une copie tirée d'une VHS numérisé de 55 minutes pour un métrage initialement prévue de 80.

Antoine, joueur toujours perdant au casino se retrouve embringué chez une charmante femme mûre vivant avec son adolescente de fille et notre homme ne sait vraiment pas où donner de la tête. Devinant un inexplicable danger, il se laisse quand même tenter par l'une et l'autre, quitte à se faire passer en revue de bien piteuse manière :

C'est qu'en fait, ces dames on besoin de lui pour une tâche ingrate : se débarrasser du corps de leur mari (et père...et amant ?)




Thriller/Polar poisseux et oppressant, à revoir peut-être dans de meilleures conditions. Guère possible, le montage original n'existe probablement pas et quand à retrouver une cassette en bon état...


vendredi 27 septembre 2024

La Fille à la Fourrure (1977)



Film très surprenant de Claude Pierson versant dans le surnaturel poétique. Un homme fait enterrer sa femme ayant trouvé la mort auprès de son amant, dans le cercueil il tient à ce qu'elle soit parée de son manteau de fourrure puis se console rapidement avec la fille qui prenait soin de la défunte.
Mais dès le lendemain, la disparue lui apparait  :

En fait d'hallucinations, nous découvrons qu'une entité extra-terrestre a pris possession du cadavre et, comme d'autre nouveaux venus sur la planète, envisagent de la coloniser. En attendant, mon bon vieil Alban se retrouve grimé en alien (ho, juste du bleu autour des yeux) et se voit apprendre un peu de l'anatomie humaine sur la musique sublime d'Eric Satie : 



Entre une traque et une fascinante scène de cérémonie se terminant en partouze de morts-vivants d'une certaine poésie (et hop, on fait la toupie), les envahisseurs font état de leur grand plan : 



Si l'on fait abstraction de quelques maladresses, comme le fait de confondre OVNI et ET ou Alien, ou bien cette voix monotone un peu abusive, la Fille à la Fourrure est à voir sans hésitation pour se changer des films d'initiation de jeunes bourgeoises fraîchement mariées. Là, elles sont déjà mortes.

 

samedi 7 septembre 2024

La Filière du Vice (1982)



Une parodie de James Bond marchant sur les plates-bandes des comédies navrantes en vogue à l'époque, çà change un peu des films d'initiations de femme mariées.
Le générique au synthé monophonique (pas un Minimoog étant donné le sync de 2 oscillateurs, plus probablement un Korg MS20) louche énormément sur son modèle : 


Jean-Pierre Armand est James Love 069. Il se retrouve convoqué dans le bureau d'une ambassade imaginaire, briefé par le colonel Jacques Marbeuf (pas de hard pour lui dans ce film) :

On découvrira plus tard que le virus se développe dans les pots de confiture Bonne Maman.
Alban Ceray lui, interprète brièvement un contre-espion dont la post synchronisation fait assez peur : 


Au fil de l'enquête, de partouze mondaine en infiltration dans le laboratoire du professeur Isa Lodvi, James Love et sa coéquipière seront fait prisonniers et vont passer par d'abominables tortures. Dans son rôle idéal de savant fou, Carmelo Petix est en complète roue libre, et c'est justement l'occasion de voir des moments de pure improvisation de toute la bande sur le plateau au moment de certaines scènes où il prend la main. Il aurait fait fureur dans un film de Philippe Clair celui-là...(l'Enculeur en folie ?) : 


Pour la patrie !

samedi 24 août 2024

Fièvres d'Eté (1981)



François accepte de remplacer au pied levé un amis en tant que serveur dans un café à La Baule avant le début de la grosse saison touristique. Logé à l'hôtel, il n'y a pas grand chose à faire, c'est qu'on s'emmerde à La Baule :

Alors on baise pour passer le temps. Avec la voisine de chambre bien gentille, avant de rencontrer une fille au pair anglaise qui plait aussi beaucoup à Monsieur et Madame. Mais elle finit avec François, peut-être l'homme de sa vie.

Une vie morne, comme la vie de tout un chacun sûrement. Baise dans des chambres d'hôtel miteuses, baise dans les chiottes des boîtes (séquence d'une tristesse pas possible tellement sa mise en scène est molle), baise sur le canapé avec Monsieur pendant que Madame chauffe à côté.

Morne et apathique. Les scènes de cul sont parfois amenées sans trop prévenir, le monteur s'étant probablement endormi sur son banc.


vendredi 26 juillet 2024

Le Feu dans la Peau (1953)



Drame familial rural comme il devait probablement s'en produire par dizaines à cette époque.

Louis a rencontré Thérèse "à la ville" pendant son service militaire et se marie avec elle pour finir à la ferme provençale partagée avec Célestin, son frère bien plus timide et Julia, fille de ferme à fort caractère.
Louis est du genre buveur, dragueur et grande gueule, mais un jour, son corps est retrouvé au fond d'un ravin. Forcément, çà jase au village :
 

Célestin qui a toujours eu le béguin pour sa belle-sœur essaye de se rapprocher de bien maladroite manière, sa timidité maladive ne l'aidant pas. Mais la fille de ferme semble commencer à l'ouvrir pour le mettre en garde contre lui même, et peut-être prendre un peu en main les affaires de la propriété.

Mais débarque Pierre, ancien camarade de régiment du mort, poursuivi par des gens qui veulent lui régler son compte. Thérèse décide de le cacher et finit par s'enticher du gars. Ils quittent tous les deux la ferme. Julia pense avoir les coudées franches avec Célestin, mais quelques mois (années) plus tard, Pierre est rattrapé par ses affaires et Thérèse n'a d'autre choix que de revenir à la ferme.

Célestin a de nouveau le béguin.

Le Feu dans la Peau n'est pas désagréable à regarder, même si les acteurs y vont un peu fort sur la caractérisation de leur personnage, il y a toujours ce débit et cette langue si agréable à voir déclamée.

Et puis quelques réflexions propres à cette période où l'exode rurale connaissait sa dernière vague : 


vendredi 28 juin 2024

Feu au Ventre (1975



Héléna devait retrouver Raoul chez un ami dans le Sud de la France pour passer quelques vacances avec cet amant d'un soir mais elle tombe sur le propriétaire des lieux, Franck, qui semble vouloir s'occuper d'elle pendant que le fameux Raoul est bien difficile à voir, occupé qu'il semble être sur une autre ligne :

Il apparait rapidement qu'il n'y a pas de Raoul au numéro de porte où elle a frappé, mais Héléna tombe irrésistiblement sous le charme de Franck, jouisseur à la situation confortable. De jeux érotiques en moments de tension, les choses se gâtent lorsque le nouveau couple se retrouve coincé dans une tombe par une bande de loubards : 


Le gang prends alors possession des lieux et impose sa loi, bien plus libertaire et anarchiste que celle du propriétaire : 


Au fil des sévices infligés à Héléna, il est de plus en plus clair que Franck est de mèche avec les tortionnaires. Il reprend la main pour quelques moments de soumission morale : 


Culminant dans le rasage intégral de la belle captive.

Feu au Ventre est un film assez fort dans son genre, instillant un climat de malaise et de plaisir, en tous cas suscitant l'intérêt suivant la sensibilité politique du spectateur. Par ailleurs sa nature de film érotique avec inserts hards habilement intégrés ne fait que renforcer la fascination malsaine pour ce qui se déroule à l'écran. Loin du porno bourgeois d'Alpha France et pas encore du niveau du Hard Crade d'Alain Payet cet essai d'Alain Nauroy me parait avoir une place à part dans son domaine.

samedi 15 juin 2024

Le Feu au Sexe (1977)



Le Feu au Sexe est un 2 en 1 comme l'a pratiqué Godrey Ho sur un bon bout de sa carrière dans un autre genre excepté qu'en lieu et place de ninja hong-kongais et de policier philippin, Jean Desvilles encapsule le film etats-uniens Portrait of Seductions de séquences françaises avec la troupe d'acteurs habituels. Ces derniers jouant le personnel d'un hôpital et le policier chargés de prendre en charge une victime d'un accident qui a coûté la vie à son mari et son beau-fils nous livrent au préalable de belles scènes de sexe joyeux et léger où la prise de tension est particulière :

La suite sera bien plus sombre puisqu'il s'agit de l'évocation des mois passés avant l'accident, laissant la place à la partie américaine. La jeune femme était mariée avec un homme plus âgé ayant un fils fort de caractère : 



Et bien sûr elle finit par être plus qu'amie avec ce jeune homme.
En attendant, ce dernier a déjà une bonne emprise sur sa propre petite-amie : 





La relation beau-fils/belle-mère devient de plus en plus torride, sodomies multiples à l'appui, et dure à gérer. Il y a fatalement un moment tendu où les deux filles sont amenées à se rencontrer : 



Mais n'y tenant plus, Christiane avoue sa liaison à son mari qui le prend très mal. Puis tout le monde monte en voiture et...

La liaison entre les 2 films est plutôt habile, le contraste entre les deux ambiances ne gâche pas le hard, au contraire, entre la légèreté de l'entame et la descente entêtante dans le triste vice de la seconde, il y a beaucoup de matière la plupart du temps bien jouée et correctement éclairée.

 


samedi 8 juin 2024

Le Feu à la Minette (1978)



Deux bonshommes, un pied-noir et un berrichon arpentent Paris et sa banlieue en porte-à-porte pour vendre des extincteurs, et accessoirement éteindre le feu allumé à l'entrecuisse des dames au foyer.
Claude Pierson déroule la même formule que ses Aventures des Queues Nickelées sorti la même année : un groupe d'homme, de la comédie jouant sur l'outrance des comédiens, merci Richard Allan et des rencontres dans des appartements qui finissent en mélange.

Allons-y pour les accents :





Le concours de bite qui ne manquent pas de se livrer les deux collègues : 



Le tout en son direct, dans une ambiance gentiment paillarde qui fait plaisir à suivre au long de ces 4 scènes dont une partouze finale où tout ce beau monde a eu l'air de bien s'amuser. On les jalouserait presque.


vendredi 10 mai 2024

Festival Porno (1975)



En fait de festival porno, nous nous retrouvons là avec les souvenirs d'une femme libertine bien dans sa tête :

Nous voilà donc partis pour une succession de scènes entrecoupées de cartons titres qui ne sont pas sans rappeler les productions ColorClimax de l'époque, la fraîcheur en moins.

Le hard est assez varié et pointu (les concombres à la crème) mais tout se déroule quasiment dans la même pièce, la photo et les cadrages font pitié tandis que les acteurs se livrent à tour de rôle sans grand enthousiasme.

Un peu de paillardise ne fait pas de mal mais c'est bien peu pour relever la sauce : 


samedi 6 avril 2024

Festival Erotique (1978)


 

Le client régulier du fond de vidéo-club savait qu'une jaquette Socai était l'assurance de piocher dans le fond du panier de la pornographie française. "J'aime les grosses légumes" sorti en salle sous le titre Festival Erotique était de ceux là.

Il est ici à nouveau question de déconstruire le train train quotidien des couples prisonniers de la routine des grandes villes. Mais la facture est au niveau habituel du label, voix off horrible, photo dégueulasse et montage aberrant :

C'est la misère dans cet appartement où se jouent les fantasmes d'une Brigitte Lahaie qu'on a plus souvent vue en jeune mariée bourgeoise qu'en ménagère se tripotant au milieu d'un tel bordel où s'invitent des chats et même un petit chien probablement réels habitants du lieu de tournage.

On se chauffe au téléphone : 


Sur une musique à base de chanana jouée en boucle qui finit par ronger la tête.

vendredi 22 mars 2024

Fesses en Feu (1977)



Production et réalisation Anne-Marie Tensi, ce Fesses en Feu laisse craindre le pire dès les premières minutes où les dialogues ne tiennent déjà pas debout et annoncent une succession de scènes forcément tirées d'autres films :

On connait la suite : un enchaînement de "souvenirs" de la vie de la mariée plus ou moins bien liés mais le résultat à l'écran est navrant de médiocrité. Scènes complètement sous-exposées qui font que l'on n'y voit rien, motivation variable des acteurs et les deux doubleurs qui se parlent dessus dans le plus grand n'importe quoi :


Alors à qui était destiné un film pareil ne recelant pas la moindre qualité ? La réponse tient aux cinémas qui l'ont programmé indiqués dans le Bier dont un en particulier : le Scala. On s'imagine l'époque de son délabrement total, Fesses en Feu faisant juste toile de fond d'une déprimante tristesse pendant que le public s'enfilait dans ses coursives. Je n'arrive même pas à associer de tag à cet article.

vendredi 15 mars 2024

La Fessée ou les Mémoires de Monsieur Léon, Maïtre Fesseur (1976)



Monsieur Léon s'ennuie ferme dans son boulot d'esclave du secteur tertiaire, mais découvrant qu'il peut sauver des couples en partageant sa passion pour la fessée, il se décide à en faire son gagne pain sous l'assistance d'une maîtresse :

 

Au fil de ses interventions, la chaise, un simple chaise en bois pour la mise en position, revient comme un motif récurrent, part intégrante du rituel. Nous voilà donc initiés au monde de la fesse : 

S'agissant d'un porno grand public de l'époque, il est vrai comme le signale Christophe Bier que la partie fétichiste laisse toujours très rapidement la place aux pratiques conventionnelles, la preuve ici :

Mais tout de même, La Fessée ou les Mémoires de Monsieur Léon, Maïtre Fesseur est très plaisant à suivre ne serais-ce que pour son ton très libertaire, entre la fille d'un militaire jouée par Catherine Ringer un peu bégueule qui finit par apprécier le cadeau et quelques autres saillies balancées au bon rythme : 

Point de vue dialogues, nous sommes mieux servis par ce Claude Bernard-Aubert que par n'importe quel Caputo/Beaudricourt toujours trop littéraire pour son bien.

Ecriture fluide menant à deux conclusions fort délectables : 

Et celle qui voit notre héros enfin apprécier autant le plaisir d'offrir que de recevoir.

vendredi 23 février 2024

Femmes Vicieuses (1974)


Un journaliste playboy fait le barbeau auprès de ses potes et de ses collègues :

Au point de faire expatrier à Pointe-à-Pitre un de ses collègues qu'il a rendu cocu.
Bref la vie s'écoule dans la beaufitude la plus totale, bagnole de sport et coups d'un soir entre couilles : 


Mais voilà qu'un jour notre gars tombe sur un os en la personne d'une belle bourgeoise blonde mariée et fidèle. Il a beau se mentir, n'ayant pas ce qu'il veut, Lantier broie du noir:


Il va donc monter un stratagème visant à pervertir le mari de la dame, à un point où ils s'accorderont pour échanger leurs femmes le temps d'une soirée, le journaliste ayant toujours une donzelle à prêter sous la main, en l’occurrence, l'apprentie actrice pas bêcheuse. Mais si la femme convoitée accepte difficilement le deal à la seconde tentative, elle n'en retourne pas moins au bercail.

Film érotique bien misogyne à l'origine, Femmes Vicieuses a plus tard été exploité caviardé de scènes pornographiques intégrées n'importe comment, même pas au même ratio avec un doublage sans rapport à l'image non plus.

Combiné à un niveau de phallocratie hors du commun dans les dialogues et la morale, je me demande si on ne tiendrait pas là un authentique nanar.

vendredi 9 février 2024

Femmes seules pour Dragueurs (1982)



Jean est surpris par son patron en train de s'envoyer sa collègue, la sanction est immédiate :


Il cache donc à sa femme la perte de son emploi, mais contrairement à Daniel Auteuil dans l'Adversaire, il va vraiment trouver de quoi s'occuper en draguant et baisant tout ce qui passe à portée de bite, intégrant même le cercle des partouzeurs parisiens : 


Madame pense qu'il se surmène au travail et, se sentant délaissée, elle se sent pousser des envies de rapports légèrement sado-masochistes (se faire gentiment fouetter), fantasme qu'elle finit par mettre en pratique.

Par un heureux coup de bol, Jean gagne le gros lot au Loto et continue donc à mener sa vie de déluré de plus belle.
Hasard des coucheries et parties aidant, Jean tombe sur son patron dans la partouze finale ainsi que, bien entendu, sa propre femme.


Le thème de la perte d'emploi puis l'heureux revirement est original, mais le parcours que suit les aventures sexuelles des protagoniste est des plus banal pour un film de cette époque. Cependant, le rythme est bon, les scènes hard sont agréablement réalisées même si l'on a déjà vu Dominique Aveline, tenant ici le rôle principal de Jean, en meilleure forme.