Caroline a une sexualité particulière:elle est consciemment exhibée en train de se masturber devant les convives de son mec du moment. Il faut dire que ses premiers pas dans le domaine lui ont fait l'effet d'un choc :
Alors Bêtes à jouir continue de raconter l'histoire de Caroline en flash back, le long d'une réalisation cotonneuse autant que le rythme du film, pas bien violent.
Les rares lignes de texte sont souvent énoncées en voix off, l'occasion d'ailleurs d'apprendre de vieilles expressions comme "attraper le marmot" :
Enfin nous noterons la musique de la première scène très proche de ce que faisait Vangelis à l'époque.