C'est vraiment la dèche, le porno de l'époque dans son pire minimalisme. Ici l'essentiel des scènes se déroule dans une voiture à l'arrêt, les actrices changent de perruque pour donner l'illusion de la multiplicité.
Ici, on ne s'embarrasse pas d'introduction élaborée, on est presque dans le Hard crad de John Love :
Mais on ne s'embarrasse pas non plus de l'ennui potentiel du spectateur.